Bienvenue sur le blog de la posturologie et de la posture. Différents articles sont proposés sur les semelles orthopédiques (kinépod, posturales, proprioceptives), les gouttières dentaires dont les activateurs buccaux (rééducation, bruxisme, ronflement, sport) et les planches oculaires actives (rééducation fatigue des yeux) .
18 Mai 2016
De nombreux parents, sportifs confirmés et débutants se posent la question de l’intérêt des étirements lors de l’activité physique.
Bon nombre d’études se contredisent d’ailleurs à ce sujet. À l’heure actuelle, nombreuses sont celles qui prônent l’effet néfaste de l’étirement alors qu’il est entré dans les mœurs des sportifs depuis des années.
Il est un fait qu’il existe différentes façons de s’étirer, et les études existantes n’ont pas forcément comparé les mêmes données. Ceci expliquerait alors tous ces avis divergents. Ceci dit, il est facilement compréhensible qu’un contorsionniste n’ait pas les mêmes besoins qu’un boxeur, qu’un sprinteur ou qu’un footballeur.
De notre côté, lors des consultations, nous remarquons le grand nombre de patients ayant des douleurs d’origine musculaire ou tendineuse (tendinopathie achilléenne ou rotulienne, fasciite plantaire…). Tout ceci serait-il lié ?
La faute aux idées reçues ?
Depuis la nuit des temps, on nous parle du stretching comme pouvant aider à la récupération après le sport, comme échauffement avant le sport, comme utile au gain d’amplitude articulaire ainsi qu’en prévention des blessures. Il est donc normal qu’on s’y adonne sans sourciller, mais qu’en est-il ?
Tout le monde s’est toujours dit qu’il valait mieux s’étirer pour ne pas trop souffrir les jours qui suivent l’activité sportive. Or, ces courbatures proviennent de micro-lésions au niveau des gaines myo-aponévrotiques. D’après certains, les étirements ne feraient en fait qu’accroître ces lésions.
Une des théories qui pourrait expliquer les bienfaits ressentis par les athlètes viendrait de l’endormissement procuré par le stretching. Celui-ci aurait alors anesthésié leurs muscles pour quelques heures.
L’ouvrage « Science of flexibility » rapporte que les étirements avant le sport provoquent des tensions élevées dans le muscle, provoquant une interruption de l’irrigation sanguine qui va à l’inverse de l’effet de vascularisation recherché. Le stretching passif ne permettrait donc pas l’échauffement du muscle.
L’étude Kaufman et al. (1999)(1) rapporte une manque de dorsiflexion de la cheville comme facteur de risque de la tendinite achilléenne. Mais il est difficile de croire que pour une pathologie donnée, il n’existe qu’un seul facteur. On ne peut dès lors pas statuer sur le fait que le gain d’amplitude apporté par les étirements joue un rôle préventif dans les blessures.
Nombreux sont les auteurs à s’être intéressés à la prévention des blessures. Lally (1994), Shrier (1999), Pope et coll. (2000) ont rapporté dans leurs études que l’étirement ne diminuait pas le risque de blessures.
Shrier (1999)(2) tente d’expliquer ce résultat par la théorie de « l’effet antalgique » de l’étirement, et par conséquent l’augmentation de la tolérance à celui-ci. En s’étirant régulièrement, le sportif s’habituerait à la douleur ressentie lors de celui-ci et provoquerait une sorte d’endormissement des capteurs de la douleur. L’athlète irait alors plus loin que d’habitude dans l’amplitude et risquerait donc la blessure une fois l’activité commencée.
Blaise Dubois nous rappelle qu’il est nécessaire d’avoir une certaine raideur pour diminuer le travail musculaire et augmenter le retour passif et élastique du muscle. À l’inverse, une certaine longueur ne serait-elle pas souhaitable pour prévenir certaines pathologies ?
L’étude de Fowles et coll. (2000) nous montre que l’étirement prolongé d’un groupe musculaire diminue l’activité musculaire (EMG) de celui-ci.
Wydra (1997) (3) décrit un autre phénomène à l’origine de la diminution de la performance suite à un étirement avant le sport. Il parle alors du phénomène de « creeping ». Lors d’un entraînement long et prolongé, les fibres de collagène se réorganisent de manière longitudinale par rapport au muscle, alors qu’en principe elles sont obliques. Cela engendrerait une moindre efficacité du tendon à emmagasiner de l’énergie, phénomène qui se résorbe de manière lente.
On peut donc en conclure qu’il n’est pas utile de s’étirer de manière longue et lente avant l’activité sportive.
La littérature rapporte qu’il n’est pas intéressant de s’étirer avant et pendant une activité physique à contraction musculaire rapide, telles que la course à pied, le basket, le foot… En y réfléchissant, on se rend compte que les postures de stretching soumettent les articulations à des amplitudes qu’elles n’atteindront jamais en situation réelle pendant l’activité et que les blessures n’arrivent pas dans des amplitudes extrêmes mais plutôt dans des phases de contractions excentriques rapides (accélération, changement de direction…).
Certaines personnes disent ne pas avoir besoin d’étirements alors que d’autres, si. Il y a donc une composante personnelle à ne pas exclure.
En effet, celui qui a été victime de claquage sans étirements et qui n’y sera plus confronté après avoir effectué du stretching pensera logiquement qu’il est important de s’étirer en prévention des blessures.
Par contre, il serait judicieux de s’étirer avant des sports comme la danse ou la gymnastique pour préparer les muscles à des amplitudes extrêmes.
Sources utilisées
(1) Am J Sports Med. 1999 Sep-Oct : 27(5), 585-93.
The effect of foot structure and range of motion on musculoskeletal overuse injuries.
Kaufman KR., Brodine SK., Shaffer RA., Johnson CW., Cullison TR.
(2) Clin. J. Sport Med. 1999 9: 221-227.
Stretching before exercise does not reduce the risk of local muscle injury : a critical review of the clinical and basic science literature.
Shrier I.
(3) Sportwissenschaft, 27, 1997, 4, 409-427.
Stretching – ein Überblick über den aktuellen Stand der Forschung.
Wydra G.
(4) British Journal of Sports Medicine 2010, 44, 1002-1009.
A pragmatic randomized trial of stretching before and after physical activity to prevent injury and soreness.
Jamtvedt G., Herbert R.D., Flottorp S., Odgaard-Jensen J., Havelsrud K., Barratt A., Mathieu E., Burls A., Oxman A.D.
De nombreux parents, sportifs confirmés et débutants se posent la question de l’intérêt des étirements lors de l’activité physique.
Bon nombre d’études se contredisent d’ailleurs à ce sujet. À l’heure actuelle, nombreuses sont celles qui prônent l’effet néfaste de l’étirement alors qu’il est entré dans les mœurs des sportifs depuis des années.
Il est un fait qu’il existe différentes façons de s’étirer, et les études existantes n’ont pas forcément comparé les mêmes données. Ceci expliquerait alors tous ces avis divergents. Ceci dit, il est facilement compréhensible qu’un contorsionniste n’ait pas les mêmes besoins qu’un boxeur, qu’un sprinteur ou qu’un footballeur.
De notre côté, lors des consultations, nous remarquons le grand nombre de patients ayant des douleurs d’origine musculaire ou tendineuse (tendinopathie achilléenne ou rotulienne, fasciite plantaire…). Tout ceci serait-il lié ?
La faute aux idées reçues ?
Depuis la nuit des temps, on nous parle du stretching comme pouvant aider à la récupération après le sport, comme échauffement avant le sport, comme utile au gain d’amplitude articulaire ainsi qu’en prévention des blessures. Il est donc normal qu’on s’y adonne sans sourciller, mais qu’en est-il ?
Tout le monde s’est toujours dit qu’il valait mieux s’étirer pour ne pas trop souffrir les jours qui suivent l’activité sportive. Or, ces courbatures proviennent de micro-lésions au niveau des gaines myo-aponévrotiques. D’après certains, les étirements ne feraient en fait qu’accroître ces lésions.
Une des théories qui pourrait expliquer les bienfaits ressentis par les athlètes viendrait de l’endormissement procuré par le stretching. Celui-ci aurait alors anesthésié leurs muscles pour quelques heures.
L’ouvrage « Science of flexibility » rapporte que les étirements avant le sport provoquent des tensions élevées dans le muscle, provoquant une interruption de l’irrigation sanguine qui va à l’inverse de l’effet de vascularisation recherché. Le stretching passif ne permettrait donc pas l’échauffement du muscle.
L’étude Kaufman et al. (1999)(1) rapporte une manque de dorsiflexion de la cheville comme facteur de risque de la tendinite achilléenne. Mais il est difficile de croire que pour une pathologie donnée, il n’existe qu’un seul facteur. On ne peut dès lors pas statuer sur le fait que le gain d’amplitude apporté par les étirements joue un rôle préventif dans les blessures.
Nombreux sont les auteurs à s’être intéressés à la prévention des blessures. Lally (1994), Shrier (1999), Pope et coll. (2000) ont rapporté dans leurs études que l’étirement ne diminuait pas le risque de blessures.
Shrier (1999)(2) tente d’expliquer ce résultat par la théorie de « l’effet antalgique » de l’étirement, et par conséquent l’augmentation de la tolérance à celui-ci. En s’étirant régulièrement, le sportif s’habituerait à la douleur ressentie lors de celui-ci et provoquerait une sorte d’endormissement des capteurs de la douleur. L’athlète irait alors plus loin que d’habitude dans l’amplitude et risquerait donc la blessure une fois l’activité commencée.
Blaise Dubois nous rappelle qu’il est nécessaire d’avoir une certaine raideur pour diminuer le travail musculaire et augmenter le retour passif et élastique du muscle. À l’inverse, une certaine longueur ne serait-elle pas souhaitable pour prévenir certaines pathologies ?
L’étude de Fowles et coll. (2000) nous montre que l’étirement prolongé d’un groupe musculaire diminue l’activité musculaire (EMG) de celui-ci.
Wydra (1997) (3) décrit un autre phénomène à l’origine de la diminution de la performance suite à un étirement avant le sport. Il parle alors du phénomène de « creeping ». Lors d’un entraînement long et prolongé, les fibres de collagène se réorganisent de manière longitudinale par rapport au muscle, alors qu’en principe elles sont obliques. Cela engendrerait une moindre efficacité du tendon à emmagasiner de l’énergie, phénomène qui se résorbe de manière lente.
On peut donc en conclure qu’il n’est pas utile de s’étirer de manière longue et lente avant l’activité sportive.
La littérature rapporte qu’il n’est pas intéressant de s’étirer avant et pendant une activité physique à contraction musculaire rapide, telles que la course à pied, le basket, le foot… En y réfléchissant, on se rend compte que les postures de stretching soumettent les articulations à des amplitudes qu’elles n’atteindront jamais en situation réelle pendant l’activité et que les blessures n’arrivent pas dans des amplitudes extrêmes mais plutôt dans des phases de contractions excentriques rapides (accélération, changement de direction…).
Certaines personnes disent ne pas avoir besoin d’étirements alors que d’autres, si. Il y a donc une composante personnelle à ne pas exclure.
En effet, celui qui a été victime de claquage sans étirements et qui n’y sera plus confronté après avoir effectué du stretching pensera logiquement qu’il est important de s’étirer en prévention des blessures.
Par contre, il serait judicieux de s’étirer avant des sports comme la danse ou la gymnastique pour préparer les muscles à des amplitudes extrêmes.
Sources utilisées
(1) Am J Sports Med. 1999 Sep-Oct : 27(5), 585-93.
The effect of foot structure and range of motion on musculoskeletal overuse injuries.
Kaufman KR., Brodine SK., Shaffer RA., Johnson CW., Cullison TR.
(2) Clin. J. Sport Med. 1999 9: 221-227.
Stretching before exercise does not reduce the risk of local muscle injury : a critical review of the clinical and basic science literature.
Shrier I.
(3) Sportwissenschaft, 27, 1997, 4, 409-427.
Stretching – ein Überblick über den aktuellen Stand der Forschung.
Wydra G.
(4) British Journal of Sports Medicine 2010, 44, 1002-1009.
A pragmatic randomized trial of stretching before and after physical activity to prevent injury and soreness.
Jamtvedt G., Herbert R.D., Flottorp S., Odgaard-Jensen J., Havelsrud K., Barratt A., Mathieu E., Burls A., Oxman A.D
De nombreux parents, sportifs confirmés et débutants se posent la question de l’intérêt des étirements lors de l’activité physique.
Bon nombre d’études se contredisent d’ailleurs à ce sujet. À l’heure actuelle, nombreuses sont celles qui prônent l’effet néfaste de l’étirement alors qu’il est entré dans les mœurs des sportifs depuis des années.
Il est un fait qu’il existe différentes façons de s’étirer, et les études existantes n’ont pas forcément comparé les mêmes données. Ceci expliquerait alors tous ces avis divergents. Ceci dit, il est facilement compréhensible qu’un contorsionniste n’ait pas les mêmes besoins qu’un boxeur, qu’un sprinteur ou qu’un footballeur.
De notre côté, lors des consultations, nous remarquons le grand nombre de patients ayant des douleurs d’origine musculaire ou tendineuse (tendinopathie achilléenne ou rotulienne, fasciite plantaire…). Tout ceci serait-il lié ?
La faute aux idées reçues ?
Depuis la nuit des temps, on nous parle du stretching comme pouvant aider à la récupération après le sport, comme échauffement avant le sport, comme utile au gain d’amplitude articulaire ainsi qu’en prévention des blessures. Il est donc normal qu’on s’y adonne sans sourciller, mais qu’en est-il ?
Tout le monde s’est toujours dit qu’il valait mieux s’étirer pour ne pas trop souffrir les jours qui suivent l’activité sportive. Or, ces courbatures proviennent de micro-lésions au niveau des gaines myo-aponévrotiques. D’après certains, les étirements ne feraient en fait qu’accroître ces lésions.
Une des théories qui pourrait expliquer les bienfaits ressentis par les athlètes viendrait de l’endormissement procuré par le stretching. Celui-ci aurait alors anesthésié leurs muscles pour quelques heures.
L’ouvrage « Science of flexibility » rapporte que les étirements avant le sport provoquent des tensions élevées dans le muscle, provoquant une interruption de l’irrigation sanguine qui va à l’inverse de l’effet de vascularisation recherché. Le stretching passif ne permettrait donc pas l’échauffement du muscle.
L’étude Kaufman et al. (1999)(1) rapporte une manque de dorsiflexion de la cheville comme facteur de risque de la tendinite achilléenne. Mais il est difficile de croire que pour une pathologie donnée, il n’existe qu’un seul facteur. On ne peut dès lors pas statuer sur le fait que le gain d’amplitude apporté par les étirements joue un rôle préventif dans les blessures.
Nombreux sont les auteurs à s’être intéressés à la prévention des blessures. Lally (1994), Shrier (1999), Pope et coll. (2000) ont rapporté dans leurs études que l’étirement ne diminuait pas le risque de blessures.
Shrier (1999)(2) tente d’expliquer ce résultat par la théorie de « l’effet antalgique » de l’étirement, et par conséquent l’augmentation de la tolérance à celui-ci. En s’étirant régulièrement, le sportif s’habituerait à la douleur ressentie lors de celui-ci et provoquerait une sorte d’endormissement des capteurs de la douleur. L’athlète irait alors plus loin que d’habitude dans l’amplitude et risquerait donc la blessure une fois l’activité commencée.
Blaise Dubois nous rappelle qu’il est nécessaire d’avoir une certaine raideur pour diminuer le travail musculaire et augmenter le retour passif et élastique du muscle. À l’inverse, une certaine longueur ne serait-elle pas souhaitable pour prévenir certaines pathologies ?
L’étude de Fowles et coll. (2000) nous montre que l’étirement prolongé d’un groupe musculaire diminue l’activité musculaire (EMG) de celui-ci.
Wydra (1997) (3) décrit un autre phénomène à l’origine de la diminution de la performance suite à un étirement avant le sport. Il parle alors du phénomène de « creeping ». Lors d’un entraînement long et prolongé, les fibres de collagène se réorganisent de manière longitudinale par rapport au muscle, alors qu’en principe elles sont obliques. Cela engendrerait une moindre efficacité du tendon à emmagasiner de l’énergie, phénomène qui se résorbe de manière lente.
On peut donc en conclure qu’il n’est pas utile de s’étirer de manière longue et lente avant l’activité sportive.
La littérature rapporte qu’il n’est pas intéressant de s’étirer avant et pendant une activité physique à contraction musculaire rapide, telles que la course à pied, le basket, le foot… En y réfléchissant, on se rend compte que les postures de stretching soumettent les articulations à des amplitudes qu’elles n’atteindront jamais en situation réelle pendant l’activité et que les blessures n’arrivent pas dans des amplitudes extrêmes mais plutôt dans des phases de contractions excentriques rapides (accélération, changement de direction…).
Certaines personnes disent ne pas avoir besoin d’étirements alors que d’autres, si. Il y a donc une composante personnelle à ne pas exclure.
En effet, celui qui a été victime de claquage sans étirements et qui n’y sera plus confronté après avoir effectué du stretching pensera logiquement qu’il est important de s’étirer en prévention des blessures.
Par contre, il serait judicieux de s’étirer avant des sports comme la danse ou la gymnastique pour préparer les muscles à des amplitudes extrêmes.
Sources utilisées
(1) Am J Sports Med. 1999 Sep-Oct : 27(5), 585-93.
The effect of foot structure and range of motion on musculoskeletal overuse injuries.
Kaufman KR., Brodine SK., Shaffer RA., Johnson CW., Cullison TR.
(2) Clin. J. Sport Med. 1999 9: 221-227.
Stretching before exercise does not reduce the risk of local muscle injury : a critical review of the clinical and basic science literature.
Shrier I.
(3) Sportwissenschaft, 27, 1997, 4, 409-427.
Stretching – ein Überblick über den aktuellen Stand der Forschung.
Wydra G.
(4) British Journal of Sports Medicine 2010, 44, 1002-1009.
A pragmatic randomized trial of stretching before and after physical activity to prevent injury and soreness.
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